Giacomo della Rossa [ Vinci ] [ en cours ]

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Nom: Della rossa. Seigneur Della Rossa.

Prénom : Giacomo.

Age :24 ans.

Sexe :masculin.

Race :Vinci.

Métier: Inventeur membre de la guilde d'Izzet, fils d'une riche famille de marchand ( ce qui est déjà un métier en soi ).

Equipement habituel : Giacomo a un faible pour tout ce qui est dangereux et instable. plus ses inventions risquent de lui exploser à la figure, plus le savant s'y attache. Si les grenades à génération métalliques spontanées ou les lances disques à rotation inversée font partie de ses jouets préférés, son arme préféré reste une paire de gants renforcés, capable d'amplifier le courant électrique que Giacomo génère du bout de ses doigts. Ils sont de plus faits dans un métal assez résistant, et peuvent parer les assauts des armes conventionnelles. Faisant preuve de sa modestie habituelle, Giacomo les a baptisé les " mains du jugement "...

Alignement : neutre mauvais

Description physique : (minimum 10 lignes pleines)

Quand vous voyez le savant pour la première fois, vous savez qu'il respire la noblesse. Son visage aristocratique, doté de traits fins, semble avoir été ciselé par la main délicate d'un sculpteur au talent indiscutable. Ses yeux, d'un marron tirant sur le vert, rappellent les jungles noires de son pays, et semblent vous juger en permanence, comme si cet être pouvait lire en vous, sans que je mais son regard froid et hautain ne cille en votre présence. Son nez est droit, aquilin, assez fin, peut-être un peu long, rappelant le bec d'un aigle ou d'un corbeau, ce qui complète l'impression que vous avez eu en le voyant : cet homme est un prédateur, un homme fait oiseau de proie pour l'homme. Ses pommettes saillantes et ses joues creuses compètent le tableau, lui donnant un air grave, empreint d'une sagesse hors du temps. Son menton, légèrement volontaire, n'est pas sans lui donner un certain côté olympien, jamais démenti par sa face, dont l'expression ne varie que peu. Qu'ils vous regarde d'un air satisfait de lui-même, d'un air dédaigneux ou ben d'un air méprisant, jamais vous ne verrez autre chose sur son visage pour tout ce qui n'est pas assez bien à son goût. Mais passons sur ce visage. Ses cheveux noirs corbeaux sont toujours impeccablement, rejetés en arrière, laissant apparaitre un front grand et plat, figurant un esprit avisé renforçant encore l'impression de gravité qui se dégage de ce personnage.

Car c'est ce que vous retiendrez en voyant le personnage. Bien que sa face trop creuse, trop aiguisé, rappelant bien trop celle d'un faucon ou le profil d'une lame, ne puisse que vous plonger dans la confusion, vous ne pourrez détacher votre regard de l'homme, qui possède, élu parmi les élus, une présence magnétisante, et qui, sans répondre aux canons de beauté classiques, fascine aussi bien hommes que femmes. Et il sait posséder cet ascendant sur le reste du genre humain, et le met à profit, sachant qu pour assoir sa domination sur son prochain, il doit user de tous les moyens possibles, sans exception. Il cultivera donc une image de dandy, prenant soin de son corps, veillant à ne pas développer le moindre gramme de graisse, ayant en horreur la saleté et le manque d'hygiène, se dotant d'une musculature rarement développée par un scientifique. en fait, on peut dire qu'il voue un véritable culte à son corps, qui est le réceptacle de sa géniale personne et doit donc être à la hauteur de son contenu. Giacomo s'oblige chaque matin, et ce pendant une heure, à des exercices physique soutenus et contraignants, sans compter l'entrainement au maniement des armes qu'il a porté au rang d'art. Sa peau est assez peu bronzée pour un Vinci, mais cela ne le gêne pas, bien au contraire, ça lui donne un attribut physique de plus pour se démarquer de la foule.

Vous l'avez compris, pour Giacomo, son physique sert à dominer. Que ce soit les conquêtes féminines, qu'il collectionne comme autant de preuve de son pouvoir de séduction, que ce soit les hommes, qu'il écrase de sa superbe, que ce soit les rares personnes se considérant comme ses amis, qu'il rabaisse sans arrêt par sa seule présence, que ce soit ses ennemis, réduits à vivre à jamais dans son ombre. De ce point de vue, Giacomo a pris sa revanche. Quelle revanche ? Patience...

Et si son corps domine de manière brutale, ses vêtements charment de manière plus subtile. Il choisit lui-même jusqu'au moindre petit accessoire, apportant un grand soin à chaque pièce d'habillement, veillant à que chaque étoffe montre sa richesse, à ce que chaque chaussure lui permette d'écraser ses ennemis avec classe, à ce que ses gifles pleines de morgue soient administrées par des gants faits par les meilleurs couturiers. Ses vêtements varient assez, passant du costume de soirée au manteau de cuir, mais restent toujours des symboles de puissance, et arborent tous le même signe : les armoiries de sa famille, un aigle planant au dessus du soleil, ce qui résume assez bien son personnage, tout compte fait.

Et oui, tout chez lui est fait pour montrer qu'il est un seigneur parmi les brebis. Son pas rapide, presque militaire, que les gens normaux ont bien de la peine à suivre sans se mettre à trottiner, ses mimiques hautaines, son regard perçant, que peu de personnes soutiennent pus de cinq secondes, sa haute stature, qui le fait culminer à près d'un mètre quatre-vingt dix, sa musculature puissante et fonctionnelle, le peu de sommeil qu'il s'accorde par nuit, jugeant un repos de plus de six heures comme du temps perdu, les rations ascétiques qui ont creusés ses joues, et la présence qu'il dégage, condensé de tout ces éléments.

Description psychologique : (minimum 10 lignes pleines)

Ce que vous devez savoir sur Giacomo c'est qu'il est un être double. Double, non pas dans le sens de schizophrène, non. Double, dans le sens que sa personnalité possèdent deux facettes bien distinctes, et que selon que vous vous trouviez en face de l'une ou de l'autre, vous ne seriez pas apte à le reconnaitre si vous n'aviez pas mémorisée son apparence. Mais nous y reviendrons... Il faut tout d'abord tenter de mieux appréhender la surface d'un lac, pour pouvoir ensuite plonger dans eaux troubles...

Tout d'abord, sachez qu Giacomo est intelligent. si vous ne deviez retenir qu'une chose de lui, ce serait cela. C'est un génie, doté d'une mémoire prodigieuse, capable de retenir le moindre détail d'une situation et de s'en souvenir avec clarté, doté d'un Qi toisant les sommets. Il est capable, simplement en lisant un traité, et ce sur quelque matière qu'il puisse porter, de l'analyser d'un mouvement des yeux, d'en dégager les idées importantes, de le mémoriser et d'être capable de l'expliquer, et bien sur de l'appliquer. Mais il y a plusieurs types d'intelligence. Certaines personnes possèdent un esprit capable d'appréhender les concepts abstraits, d'autres sont hypersensibles aux personnes qui les entourent. Giacomo ne possède rien de tout ça. Pour lui, un idée abstraite n'est rien qu'une ineptie sans fondement réel. Il ne comprend rien à 'art, et i voit la beauté comme un ensemble de données réunies de manière harmonieuse dans un même élément. Quant à comprendre son prochain... pourquoi se donnerait-il cette peine puisque les autres personnes ne sont que des vers vivant à l'ombre de son talent ?

Non, son intelligence est bien plus mathématique. Son environnement n'est qu'une succession d'idées simples, qui, superposées les unes sur les autres, forment des enchevêtrement logiques de plus en complexes. Les personnes qui l'entourent ne sont que des données, en attente d'êtres utilisées, ce qui explique qu'il conçoive difficilement un quelconque scrupule à manipuler quelqu'un ou à s'en débarrasser. Pour lui, penser différemment est la marque d'une faiblesse sentimentale déplacée et d'une stupidité extrême et il en est venu, petit à petit, à ne faire confiance à personne, même si son perpétuel sourire de surface voudrait indiquer que même s'il vous trouve stupide, ce qu'il ne peut de tout façon pas cacher, il ne vous juge pas dangereux. Hors, ce n'est pas le cas. Appelez ça paranoïa si vous le voulez, mais Giacomo pense que tout être vivant est un grave danger, au moins potentiel, pour sa vie, ce qui le conduit à toujours faire preuve d'une prudence et d'un détachement glacial avec les inconnus, comme avec son cercle très restreint de collaborateurs. Après tout, un type aussi riche, puissant et génial que lui ne peut qu'être la cible perpétuelle d'assassins et d'espions mal intentionnés.

Il ne faut pas croire pourtant qu'il vive dans la peur. Oh, il la ressentirait certainement s'il le pouvait, mais ces réactions, comme l'affection, la peur, la peine, bref, ces sentiments, qu'il juge désespérément animaux, ont depuis longtemps étés bannis de son registre émotionnel.

Pour autant, il n'avance pas sans but dans la vie. puisque la sienne n'a été qu'une succession d'épreuves, desquelles il s'est toujours tiré grandi. Il s'est donc fixé un but ultime : devenir un dieu. Hors, le dieu est un être qui obéit à trois grands principes : premièrement, il est adulé par une foule de fidèle. Deuxièmement, il est immortel et hors du temps. troisièmement, il est tout puissant. Giacomo tente donc d'achever ces objectifs, en commençant par le plus urgent, la recherche de l'immortalité. Ce but l'obsède, le titille de son aiguillon en permanence, raccourcit ses nuits déjà assez peu longues, le pousse à bout. Il a déjà tenté beaucoup de choses, sacrifiés de nombreux cobayes, hommes comme animaux, dans ce but. Que ce soit en stoppant a dégradation des tissus, en fabriquant des organes mécaniques, rien ne fonctionne, le corps semble être condamné à se dégrader. S'il a réussit à retarder légèrement son vieillissement en améliorant quelque peu la durée de vie de ses cellules, ses progrès restent bien insuffisants à son goût.

Bref, le Giacomo que tout le monde voit est le riche savant, propriétaire d'un conglomérat marchand, membre d'Izzet, imbu de lui-même, attaché aux apparences. pourtant, le vrai Giacomo est tout autre.

Autres :

Histoire : (minimum 15 lignes pleines)

Je risque d'avoir besoin d'un deuxième post pour faire tenir l'histoire, désolé.

Pas de problème pour ton deuxième post, sinon des nouvelles ?